Hervé Gorse

Le Grand Murat est un verger sur 4 hectares et demi avec 23 variétés de précocités différentes ouvert à la cueillette à partir du premier week-end de septembre. Hervé a repris le verger depuis 6 ans après Monsieur et Madame Rogier qui l’avait planté en 1992.

Hervé Gorse

"Venir nous rencontrer, c'est découvrir des produits innovants et soutenir l'économie locale !"

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Les Vergers du Grand Murat (Bénévent l'Abbaye)

La cueillette se fait toutes les après-midi, tous les jours, de 14h à 18h. Les gens viennent avec leurs récipients, vous pouvez choisir différentes espèces de pommes sur conseils d’Hervé.

En plus de la cueillette, Hervé fait des visites guidées aux écoles primaires pour leur faire découvrir le verger et leur faire déguster des vrais produits en direct : le jus de pomme et de la compote de pomme.

Hervé prend à coeur d’ouvrir son verger aux clients pour faire découvrir différentes variétés et faire découvrir différents gouts et surtout des produits que l’on essaye de faire le plus sain possible où l’on intervient le moins possible pour faire des produits de qualité et en corrélation avec l’environnement.

C’est quoi une journée type au verger ?

« La journée type au verger : le matin on va cueillir les pommes que l’on met en magasins, on le fait le matin car l’après-midi il y a la clientèle, que l’on accueille 7 jours / 7 pour les accompagner dans leur cueillette et les conseiller sur les différentes variétés. »

Où pouvons-nous retrouver vos produits ?

« En plus de la cueillette, vous pouvez retrouver nos produits dans les supermarchés et commerces de la région et en plus on fait également de la transformation : du jus de pomme en deux conditionnements, des bouteilles de 1 litre et des cubis de 3 lites. Aussi, on fait du pétillant de pomme sans gaz carbonique à base de levure, du cidre but et doux et un Pomme Châtaigne qui est un assemblage de liqueur de châtaigne, cognac et pétillant de pomme. »

Pourquoi exercez-vous cette activité ?

« C’est une activité que j’aime énormément parce que j’ai un passé de commercial pendant plus de 20 ans où j’avais une habitude avec la clientèle. Et le fait de me retrouver seule sur mon exploitation bovine me faisait ressentir le manque de contact avec le monde extérieur. Donc cette activité m’a permis de renouer avec les gens. »