le guide
Du parking, prendre le chemin tout droit en direction de l’atelier de taille de pierre (Sud-Ouest).
Se diriger ensuite dans la descente en obliquant à droite.
Au panneau « La Carrière », tourner à droite pour y accéder. Revenir sur ses pas.
Tourner à droite et s’engager sur le pont-planche. Monter ensuite à droite dans le chemin creux. A la fourche, bifurquer à droite direction « le Moulin ». Plus loin, descendre à droite au panneau « Le Chanvre ». Possibilité de s’approcher de l’ancien moulin à chanvre sinon rester sur le chemin principal.
Au moulin restauré d’Augerolles, prendre à gauche dans la montée, en suivant le balisage. Continuer tout droit dans le bois de feuillus. Au carrefour en T, aller à droite. Traverser le bief, poursuivre tout droit.
Au panneau fléché marqué du symbole point de vue, sortir du chemin sur la droite et parcourir quelques mètres dans la parcelle pour profiter de la vue sur la vallée. Reprendre le chemin à droite, serpenter dans le bois. Au sortir du bois de sapin (point de vue sur le village de la Vedrenne), entamer la descente dans les lacets sinueux de la hêtraie. En contre-bas du sous-bois, franchir un autre bief et se diriger en face vers le ruisseau.
Emprunter la passerelle en bois pour traverser. Enjamber le ruisseau grâce aux caillebotis. Au moulin des Charreaux (vestiges), grimper à droite. A l’intersection en T, tourner à droite au-dessus du ruisseau pour surplomber les cascades. A la fourche prenez à droite (point de vue sur les Cascades d’Augerolles).
S’engager dans le bois de sapins, au milieu du Champs de pierres. A l’intersection, aller tout droit, regagner le chemin en bordure de la route. Emprunter les escaliers, continuer à droite. Retour au-dessus de la carrière du départ, tourner à gauche dans la montée, en suivant le balisage.
« Un circuit très sauvage qui permet de découvrir le champ de pierres qui créé de multiples cascades sur la rivière sauvage du Pic. Les ambiances sont feutrées, intimistes et forment un véritable havre de paix où se l’on aime à prendre son temps.«